Arthur resta figé sur la scène, le regard clair sur le violon suspendu qui venait de vibrer dans le calme du théâtre. Il n’y avait personne, aucune sorte de mouvement, aucune brise relativement importante pour pactiser un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer abandonné, tels que s’il répondait à une https://edgaruydgi.estate-blog.com/32949834/la-aubade-des-absents