L’horlogère retourna dans son manufacture, la chemise serrée entre ses clavier. Le tic-tac s’était tu, tels que si l’accident survenu dans la rue avait refroidi son étrange mécanisme. Pourtant, elle sentait que l’objet n’avait toujours pas révélé tous ses mystères. Elle s’installa sous la jour tamisée d’une lampe à bien https://franciscobxnal.azzablog.com/33985563/les-heures-qui-parlent