L’archéologue scrutait l’horizon, les sables dorées s’étirant de façon identique à un océan figé marqué par la lumière du soleil déclinant. Le vent continuait de créer des volutes de poussière, mais son être était ailleurs. Les ombres qu’il avait vues un moment plus tôt n’avaient laissé aucune trace, aucune label https://jeffreyfpvae.bloguerosa.com/32820555/le-sable-et-les-astres