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Les ombrages du fatigue

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La gare était plongée dans une brume dense, un store épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de un lien indiquait minuit, l’heure juste du départ du train. Le passager se tenait fixe, suivant l’immense matériel d’acier noir qui sifflait mollement, prête à https://voyancegratuitepartlphone73714.ambien-blog.com/40334807/le-train-sans-retour

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