En l’année 1851, au cœur de l’Empire austro-hongrois, dans un petit village perdu entre avenues et forêts, un horloger du patronyme de Jakob Müller vivait reclus dans une bâtisse en pierre et de cuivre. Artisan obsessionnel, il avait passé deux décennies à ciseler une ainargentage personnelle en son genre : https://lanegsagn.theideasblog.com/34706888/les-oscillations-incorporels