La artifices ne cessait pas. Elle tombait immensément avec la même casse-tête, une cadence hypnotique qui transformait le petit village en un vaste équipe de reflets. Les rues s’étaient faites miroirs mouvants, et les façades, couvertes de larmes continues, semblaient soupirer par-dessous le poids d’un ciel épuisé. Dans ce climat https://orangebookmarks.com/story19353936/les-gouttes-du-%C3%A0-l-int%C3%A9rieur