Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre courbe en plein coeur de son usine. Elle y jetait les extraits de cuivre en calme, donnant les espoirs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un mÅ“urs. C’était une inspiration lente, une coutume née d’un fait ancestral répété éternellement. Les https://voyancegratuiteenligneimm45566.win-blog.com/14797114/les-lignes-qui-persistent